boulimie

Que cache la boulimie et que faire contre ?

La boulimie signifie étymologiquement faim de bœuf. C’est un terme du langage courant qui se caractérise par l’ingestion d’aliments en quantité excessive et de manière répétitive et durable. Elle est considérée comme une des formes les plus sévères des troubles alimentaires avec l’Anorexie mentale.

La boulimie touche toutes les classes sociales et se retrouve dans tous les pays du monde à l’exception semble-t-il de l’Afrique. Des études épidémiologiques mettent en évidence une augmentation importante du syndrome boulimique dans les pays d’abondance alimentaire.

Il n’existe pas de données statistiques vraiment fiables et sérieuses concernant le pourcentage de personnes souffrant de ce syndrome. Cependant les femmes sont beaucoup plus touchées que les hommes avec un ratio estimé de cinq pour un en faveur du sexe féminin.

L’âge de début se situe entre 16 et 21 ans, mais les premières consultations sont souvent plus tardives entre 22 et 25 ans.

Clinique

La crise boulimique se caractérise par des accès de gavage répétés. Ces crises se produisent de manière impulsive et incontrôlée, le sujet ingérant des quantités de nourriture très importantes sans rapport avec le sentiment d’avoir faim. Les crises peuvent se répéter plusieurs fois par semaine voir plusieurs fois par jour. Les premières crises peuvent faire suite à des circonstances particulières telles que le stress et sont habituellement très espacées. Elles peuvent rester sans suite ou évoluer vers un état plus chronique appelé syndrome boulimique.

Comme l’anorexie mentale, la boulimie peut être associée à un trouble de l’image du corps et à une peur de grossir, entraînant différents comportements destinés à pallier les effets pondéraux des crises. Environ une patiente sur deux a par exemple recours aux vomissements. D’autres manifestations psychopathologiques s’associent très souvent à ces symptômes tels que l’anxiété diffuse, les crises d’angoisse ou l’agoraphobie.

Il est fréquent de retrouver des épisodes maniaques suivis d’abattements dépressifs.

L’obésité est également parfois présente surtout chez les hommes.

Enfin, il existe un lien important entre le syndrome boulimique et l’anorexie puisqu’un grand nombre de patientes anorexiques évaluent souvent vers le syndrome boulimique.

Causes

Les causes du syndrome boulimique sont variées et englobent des facteurs socioculturels, biologiques et psychologiques que nous ne développerons pas ici.

Traitements

Comme souvent dans les pathologies que nous pouvons considérer comme fonctionnelles, les traitements classiques proposés ne donnent pas de résultats très probants.
Nous pouvons retrouver dans ce champ les thérapies cognitivo-comportementales très à la mode et considérées comme les plus efficaces, mais dont les résultats sont très controversés. Les thérapies médicamenteuses donnent peu de résultats et restent invasives. Elles ne sont donc pas une solution satisfaisante. Les diverses psychothérapies et la psychanalyse présentent un intérêt très limité dans ce type de pathologie.
L’hypnose peut se révéler intéressante dans certains cas, notamment par sa capacité à modifier les croyances.

Pouquoi venir chez CeREN ?

Au cour de ces 25 dernières années nous avons pu constater l’efficacité de notre démarche dans la régulation des troubles alimentaire et notamment dans la régulation du syndrome boulimique.
Le Training Neuro Sensoriel développé par Frank Giraudeaux sur la base des travaux de Georges Quertant donne des résultats spectaculaires notamment par sa capacité à réguler le fonctionnement de la zone hypothalamique, véritable centre de contrôle de tous les instincts biologiques. En effet, l’hypothalamus assure, entre autres, la régulation de la satiété, de l’affectivité, mais également le contrôle hormonal en raison de son rôle étroit avec la glande hypophyse.
CeREN vous propose également d’expérimenter de nombreuses voies vous permettant de retrouver le contrôle de votre biologie et de votre psychologie. Notre efficacité est issue de notre expérience de plus de 25 années en dehors du cadre académique, gouvernemental ou du lobby pharmaco industriel.

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